On en rêve pendant des semaines, de cette salvatrice parenthèse sans bébé.
Et le moment venu, on ne pensera pratiquement qu'à lui pendant la semaine : est-ce qu'il va bien (→oui), est-ce qu'on lui manque (→pas vraiment), est-ce qu'il arrive quand même à jouer et à dormir (→oui, carrément), est-ce qu'il nous a oublié (→peut-être un peu)(sale gosse). On s'endormira en rêvant qu'on le sert dans nos bras, et on gagatisera au téléphone dans l'espoir de l'entendre nous dire un mot (sachant qu'il ne parle pas, on peut toujours rêver).
Et finalement, on le retrouve, un petit peu changé, un petit peu grandi...
N'empêche, ces vacances, qu'est ce que ça fait du bien!